Bonheur au travail : l’intensité du travail et le temps de travail
Même s’il est difficile de mesurer le bonheur en entreprise. Ce qui se dit c’est que. « La mesure de l’intensité du travail et du temps de travail englobe les notions de « demande psychologique » et d’effort». Ainsi, L’intensité et la complexité du travail dépendent des contraintes de rythme, de l’existence d’objectifs irréalistes ou flous, des exigences de polyvalence, des responsabilités, d’éventuelles instructions contradictoires, des interruptions d’activités non préparées et de l’exigence de compétences élevées.
Autrement dit, le temps de travail influe sur la santé et le bien- être par sa durée et son organisation.
Bonheur au travail : Les exigences émotionnelles
Quel est le lien me direz-vous ? Concrètement, les exigences émotionnelles sont liées à la nécessité de maîtriser et façonner ses propres émotions. Le but? Notamment, « maîtriser » et « façonner » celles ressenties par les personnes avec qui on interagit lors du travail.
Enfin, devoir cacher ses émotions est également « exigeant », pour ne pas dire plus.
Bonheur au travail : Le manque d’autonomie
Généralement, l’autonomie au travail désigne la « possibilité pour le travailleur d’être acteur dans son travail ». Autrement dit, dans sa participation à la production de richesses et dans la conduite de sa vie professionnelle.
C’est ce qu’appelle le questionnaire de Karasek la « latitude décisionnelle. » Concrètement, elle inclut non seulement les marges de manœuvre, mais aussi la participation aux décisions ainsi que l’utilisation et le développement des compétences.
Ainsi, la notion d’autonomie comprend l’idée de se développer au travail et d’y prendre du plaisir.
Bonheur au travail : La mauvaise qualité des rapports sociaux au travail
En général, on nomme les rapports sociaux au travail les « rapports entre travailleurs ainsi que ceux entre le travailleur et l’organisation qui l’emploie ».
Les rapports sociaux ,à prendre en compte, comprennent les relations avec les collègues. Mais également, les relations avec la hiérarchie, la rémunération, les perspectives de carrière, l’adéquation de la tâche à la personne, les procédures d’évaluation du travail. Cela passe aussi par, l’attention portée au bien-être des travailleurs.
Pour mieux comprendre, les pathologies des rapports sociaux comme le harcèlement moral, doivent être prises en compte.
Bonheur au travail : La souffrance éthique
Cela parait nouveau, mais ce n’est pas le cas. En fait, une souffrance éthique est ressentie par une personne à qui l’on demande d’agir en opposition avec ses valeurs professionnelles, sociales ou personnelles.
Le conflit de valeurs, peut venir de ce que le but du travail ou ses effets secondaires heurtent les convictions du travailleur. C’est encore le fait qu’il doit travailler d’une façon non conforme à sa conscience professionnelle.
Bonheur au travail : L’insécurité de la situation de travail
Par, insécurité de la situation de travail on comprend l’insécurité socio-économique. C’est aussi, le risque de changement non maîtrisé de la tâche et des conditions de travail.
Parfois, l’insécurité socio-économique peut provenir du risque de perdre son emploi. Mais aussi, du risque de voir baisser le revenu qu’on en tire ou du risque de ne pas bénéficier d’un déroulement « normal » de sa carrière.
Ainsi, des conditions de travail non soutenables sont aussi génératrices d’insécurité. Mais aussi, des incertitudes susceptibles de créer une insécurité peuvent aussi porter sur l’avenir du métier.
Cela peut enfin toucher l’évolution des conditions de travail.
Dans tous les cas, de telles craintes peuvent être motivées par l’expérience de changements incessants ou incompréhensibles.
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